Apéro : les dernières tendances
Avec Armand, on est en train de développer des nouveaux concepts, en matière d’apéro. Il y en a un déjà qui a bien pris et qui gagne en popularité : l’apéro-chaise. C’est très simple : on s’est acheté chacun une de ces magnifiques chaises apéro, ces chaises dépliantes avec une espèce de panier intégré à l’accoudoir pour pouvoir poser son verre de vin ou sa bière.
Le jour de l’achat (un samedi après-midi), on s’est également procuré un cubitainer de blanc, puis on s’est empressé d’aller chez moi afin de tester ces fameuses chaises. On a alors installé nos deux chaises en plein milieu de la cour de ma résidence, posé le cubi sur un tabouret de bar récupéré dans l’appart, puis, sur un autre tabouret, on a branché mon nano i-Pod avec mes mini-enceintes.
Le soleil, du vin et de la musique : que demander de plus ?! L’apéro-chaise, en trois mots : un succès fou ! Ce jour-là, les voisins sont venus, ils ont pris des chaises et se sont joints à la fête. Marisa, l’Argentine, était également de la partie. Le soir venu, on a poursuivi. La lueur de la lanterne que venait d’acheter Armand à l’Armée du Salut a remplacé la lumière du soleil, et cela n’a pas altéré la bonne tenue de l’apéro, bien au contraire. D’autres voisins se sont ainsi incrustés à notre tablée.
On a répété l’opération à plusieurs reprises, avec toujours le même enthousiasme, bien que le soleil n’ait pas toujours répondu présent.
Toutefois, il nous fallait quelque chose de novateur, pour éviter de tomber dans une fâcheuse routine.
C’est ainsi qu’on a découvert les bienfaits de l’apéro-toit, ou « apéro-roof » pour nos amis anglo-saxons. L’apéro-toit fut testé pour la première fois hier soir, sur le toit de Marisa qui venait d’emménager dans un nouveau flat, avec Luis, un ami argentin. De leur toit, on a une vue démentielle sur tout Wellington ! Un truc de ouf, qu’on a pu apprécier avec la charmante compagnie d’un nouveau cubi de blanc. Une belle soirée, malheureusement interrompu par les voisins qui se sont plaints qu’on les observait… Mais bon, c’est une expérience à rééditer, car c’est franchement le pied !